Conflit sino-indien, l’administration Trump prend parti

Suite à l’aggravation de la situation dans l’Himalaya, les États-Unis ont pour la première fois apporté un soutien public à l’Inde. Alors qu’au moment de l’affaire du plateau de Doklam en 2017, ils étaient restés plutôt silencieux, devant la montée des tensions au mois de mai, les deux parties ont eu des échanges de haut niveau.

Par exemple, le Secrétaire de la défense américain, Mark T. Esper s’était entretenu avec son homologue indien Rajnath Singh le 29 mai afin de prévoir les prochaines étapes pour renforcer le partenariat dans le domaine de la défense. Le 2 juin, ce fut le Président Trump et le Premier ministre Narendra Modi qui échangèrent sur les tensions frontalières et le cas de l’OMS.

Dans le contexte de l’après-Galwan, le comportement de la Chine fut dénoncé par de nombreux hauts responsables et universitaires américains, les États-Unis soutenant l’Inde également dans sa décision de bannir plusieurs applications chinoises de son territoire.

Plus de détails sur :

This time the US is taking India’s side against China